Il y a 2 jours, je vous parlais de mon amour pour le bricolage.
Mais attention, le Do It Yourself, c’est pas seulement un hobby de mamans branchouilles en mode workshop dans un grand magasin parisien. A la base, c’est underground, baby, et c’est même plutôt un truc de bonhommes (si tu ne me crois pas, regarde ici le Tracks de Arte spécial Maker Faire, tu peux y voirquelques grosses moustaches viriles). Mais, hourrah, c’est pas réservé aux punks à chiens.
Mais attention, le Do It Yourself, c’est pas seulement un hobby de mamans branchouilles en mode workshop dans un grand magasin parisien. A la base, c’est underground, baby, et c’est même plutôt un truc de bonhommes (si tu ne me crois pas, regarde ici le Tracks de Arte spécial Maker Faire, tu peux y voirquelques grosses moustaches viriles). Mais, hourrah, c’est pas réservé aux punks à chiens.
Etre acteur plutôt que
consommateur, c’est toute une philosophie de vie qui propose une manière de
consommer autrement, et c’est plus ou moins à la portée de chacun, selon ses
motivations.
C’est Fais-le toi-même (t’as vu mon
anglais impeccable ?), mais c’est aussi être plus proche des fabricants -
parce qu’on ne peut quand même pas tout faire tout seul -, et par là j’entends
aussi bien le menuisier que la nana qui fabrique des merveilles le soir
en rentrant du boulot. Des gens qui fabriquent des choses avec leurs mains ET
avec leur cœur.
Vous allez me dire que cette idée,
c’est du réchauffé, et que consommer différemment, on peut le faire partout.
OUI MAIS figurez-vous que je m’en rends compte seulement maintenant PARCE QUE
c’est justement ce qu’on est obligé de faire quand le transport se met à nous
coûter plus cher que le meuble qu’on veut acheter.
Avec Si j’avais un pinceau,
j’entends donc proposer une manière différente d’aborder l’architecture
d’intérieur. Le concept reste classique : offrir des solutions fonctionnelles et esthétiques, adaptées aux besoins, aux envies et au budget de chacun.
Mais la mise en œuvre s’adapte, en utilisant, en détournant, en se
réappropriant le mobilier déjà présent, et en utilisant au maximum les
ressources locales (je parle des artisans, là) avant de compiler les catalogues
de produits neufs.
Une manière de se simplifier la
vie, de redorer le blason de vos meubles de famille, de faire parfois du bien à
l’économie locale, et aussi au passage un petit geste pour la planète. Avec ça, si on devient pas des héros...
Alors, faire des travaux, et les
faire BIEN, ça vous tente ?
Moi évidement, ca me tente,
RépondreSupprimerj'ai hâte de lire les futurs post !!!
En plus du pinceau, quelle plume !
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